Qui sommes-nous ?
Un héritage culturel indéfectible
L’histoire d’Echo, fondatrice et présidente de La Maison d'Echo, commence avec ses grands-parents maternels, qui ont marqué son enfance et influencé le cours de sa vie.
Ce furent des personnages remarquables ayant reçu une haute éducation traditionnelle héritée d’une riche culture familiale. Ils ont connu une vie mouvementée représentative du siècle dernier particulièrement bouleversé en Chine.
Le grand-père d’Echo fut un homme d’affaire plein de réussite mais aussi un calligraphe fameux à Nankin durant la période républicaine, tandis que sa grand-mère était professeur d’anglais à Shanghai.
Durant la guerre antijaponaise ils durent fuir tous deux en 1934 devant les atrocités commises par l’occupant dont ils furent aussi victimes, pour aboutir à Kunming par des chemins hasardeux, dans la province du Yunnan, où ils se trouvèrent, s’aimèrent et se marièrent. Leur histoire romantique a fondé la légende familiale, qu’Echo rêve de poursuivre.
Des racines profondes au Yunnan
Echo est ainsi née à Kunming, la ville du printemps éternel
... située sur les hauts plateaux à l’extrême est de l’Himalaya, aux confins du Tibet, et proche du Vietnam, du Laos et de la Birmanie qui bordent la province du sud de la Chine, sous les tropiques.
De cette position exceptionnelle surgissent des paysages paradisiaques dans lesquels plus d’une trentaine de minorités ethniques ont su préserver leurs villages, leurs coutumes et leur artisanat. Ainsi, l’écrivain anglais James Hilton a situé son roman Lost Horizon décrivant un eldorado dénommé Shangri-la dans le nord du Yunnan.
Un apprentissage à la bonne école
De son grand-père, éminent lettré, poète et caligraphe, Echo a acquis la passion des arts
En 2015, Echo se rendit à Paris pour étudier à Sup de Luxe où elle obtint brillamment son diplôme de MBA en marketing et management du luxe. Elle y a découvert le monde fantastique du luxe à la française, l’héritage des marques prestigieuses et a acquis au contact de professeurs remarquables des compétences en marketing et en management lui permettant de développer ses propres concepts.
Son projet de fin d’études pour la Fondation de la Haute Horlogerie à Genève l’a aidée à développer sa réflexion sur les convergences entre les concepts du luxe respectifs sur les marchés européens et chinois.
A la croisée des cultures
Du luxe à la française, Echo a retenu la valeur des artisanats traditionnels
Par son vécu et ses expériences passées, Echo possède une haute connaissance de l’art et de l’artisanat chinois y compris celui des minorités ethniques et rêve de les pérenniser en leur donnant l’opportunité de s’adapter aux marchés français et européens, en créant une marque de prestige.
A rebours de la perception par les Européens de produits chinois de bas coût et faible qualité, Echo veut faire connaître les techniques séculaires des arts traditionnels dont sont issus des produits précieux à l’esthétique sophistiquée. Par sa compréhension des attentes des amateurs et des consommateurs Français,
Echo a pour ambition de contribuer au maintien et au réveil de ces procédés artisanaux uniques et souvent en voie de disparition.
La vision d'Echo
En s'inspirant des artistes européens du vingtième siècle, Echo souhaite apporter sa créativité au renouveau de l'artisanat traditionnel des minorités du sud de la Chine
A Paris, Echo apprécie l’atmosphère naturelle de liberté créatrice et de diversification culturelle. Elle a été profondément impressionnée par les artistes modernes tels que Picasso, Matisse, Kandisky, Derain, Miro, Makevitch, Mondrian, Sonia Delaunay et Yves Klein. Ces artistes ont su être des précurseurs, utilisant leur technique apprise pour innover.
De même, Echo souhaite à partir des arts et traditions artisanales chinoises innover pour créer des objets nouveaux et non copier ce que faisaient les anciens. Pour elle, développement et création sont l’essence de la vie.
Après ses études à Paris, Echo s’est installée à Aix-en-Provence avec son mari pour y démarrer une nouvelle vie et réaliser son rêve.